Spiderman Evolution - Genese - Chap.2

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Trois plombes que cet épisode est dans ma rubrique Brouillon, je me décide enfin à la publier mdr Désolé. Par contre, Madded a du retard, il va vous falloir le harceler pour avoir la suite !!


SPIDERMAN EVOLUTION

La Genèse

Episode 2 : L’ombre de l’araignée


Stan avait réussit à s’échapper de l’entrepôt. Il ne savait pas ce qu’il adviendrait de Steve, Jack et des autres. Pour tout dire il s’en fichait éperdument. Tout ce qu’il voulait c’était foutre le camp et s’en sortir.

-C’était quoi cette chose... se demandait-il, c’était tombé du plafond sans aucun bruit. 


Il repensa à cet homme qui avait surgis de l’ombre. Il leur était tombé dessus comme la guigne, lançant des toiles et distribuant ses coups aussi vite que l’éclair. Il râla intérieurement. Ils venaient à peine d’être débarrassés de ce fêlé de Punisher, qu’un nouveau entrait déjà dans la danse.

Stan ruminait tellement ses pensées qu’il n’entendit pas le THWIP qui terrorisait déjà les criminels de Manhattan. La toile s'empêtra dans ses jambes, son adversaire tira violemment en arrière et le menton du criminel vint heurter de plein fouet le bitume sale de la ruelle. Sans prendre la peine d’essuyer le sang qui coulait de sa bouche, Stan dégaina son revolver, le pointant dans la direction de son opposant. A cause du manque de lumière, il ne vit pas la toile boucher le canon de son flingue. Il tira mais son arme explosa.


Soufflant et gémissant le criminel leva les yeux vers son agresseur qui sortait de l’ombre. Le type n’était pas très grand, on aurait dit volontiers un adolescent. Il portait une tunique noire en une seule pièce et sa poitrine arborait une gigantesque araignée blanche et menaçante. Son vêtement se terminait par une cagoule avec deux grands yeux blancs. Tremblant de peur le criminel tenta d’échapper au justicier en rampant. Mais l’homme araignée l’attrapa à bout de bras et d’un bond grimpa six mètres d’immeuble.


- Nan pitié ! Pitié ! Seigneur... implorait le voyou

- C’est ça pleure... Dis moi ce que je veux et je te laisserai partir...en vie.

- Qu’est-ce que tu veux, bordel?

- Il y a six mois, un homme a tué un couple de petit vieux laissant un gamin seul... Tarentula ça te parle ? La police le cherche, parait-il...

- Je...j’en sais rien moi...

- Tant pis pour toi.


Le justicier lâcha le criminel au dessus du vide, puis le rattrapa avec une toile au dernier moment. Stan venait de faire dans son froc. Ce type en araignée était ivre de colère. Il devait faire quelque chose pour le satisfaire.


- Ecoute... Ecoute moi...

- J’attends...

- Le Caïd... Ce mec est au courant de tout, et tout lui appartient... Si tu arrives à le trouver il saura… Le mec que tu cherches travaille sûrement pour lui...

- En prison, je veux que tu leurs disent que Spider Man t’as fait te chier dessus...

- Tout... Tout ce que tu veux.


Tissant sa toile Spider Man fit descendre le criminel jusqu’à la rue. Une voiture dérapa dans la ruelle. L’inspecteur Stacy en sortit pointant son arme sur le criminel.


-On ne bouge pas.



Voyant la toile qui saucissonnait le voyou, George Stacy leva les yeux et vit l’homme araignée s’éloigner entre les immeubles...



Générique


Avec Peter Parker, Gwen Stacy, Flash Thompson, Harry Osborn, Anna Watson, Georges Stacy et J. Jonah Jameson...


Peter entra dans sa chambre par la fenêtre comme il faisait depuis quelques jours pour qu’Anna ne s’aperçoive pas de la double vie de son pupille. Il retira son masque respirant une grande goulée d’air frais. Il n’imaginait pas qu’un masque puisse être si étouffant. Paradoxalement avec le masque, il pouvait enfin être lui même. Il cacha son costume sous une latte branlante de sa penderie comme à l’accoutumée et rejoignit Anna au rez-de-chaussée. Ils n’allaient pas tarder à passer à table. Peter arrivait pile poil. En mettant la table, il repensa à ce que lui avait dit le criminel. Le Caïd... Ce type savait où trouver ce mystérieux Tarentula… Comment pouvait t-il trouver des information sur ce « Caïd » ? Pas en cherchant dans l’annuaire en tout cas. Le père de Gwen, peut être ? Une autre source ? Une embûche de plus sur le chemin de sa vengeance...



***



- Le Daily Bugle est un des plus grands quotidiens de la ville n’est-ce pas ? J’aimerais alors savoir pourquoi nous ne cherchons pas ce type qui tabassent les voyous ? cracha Jonah Jameson, éditeur du Bugle...

- Jonah, tempéra Joe Robertson, tout le monde était sur l’affaire Castle...

- Ah oui ? souffla Jonah, Robbie tu es viré ! Miss Brant veuillez noter le licenciement de Mr Robertson !


Betty Brant, la secrétaire de Jameson haussa les épaules en regardant Robbie. Jameson virait Robbie, son rédacteur en chef quasiment toutes les semaines au rythme de ses crises de nerfs. Jameson était de taille moyenne, avait ses cheveux gris coiffés en brosse et portait la moustache. Robbie était l’exact contraire de son chef. Noir, aussi calme que Jameson était acariâtre, il supportait sans mal, les brimades de son éditeur. Sans un mot, il se leva en esquissant un sourire. Il fit quelques pas vers la porte du bureau. Et...


- Robbie ! Reviens ici ! beugla Jameson

- Jonah, ce ne sont que des rumeurs...

- Un indic dans la police m’a vendu l’info et tu doutes de mon flair ?

- Non mais...

- Il n’y a pas de « mais » qui tienne Robbie ! Ce type se ferait appeler Spider Man et je le veux à ma Une ! Passe une annonce pour l’édition du soir, j’offre une récompense à celui qui me ramènera une photo de ce justicier, on verra bien s’il existe où si c’est une de ses légendes urbaines ! T’es encore là Robbie ? Allez au boulot !


Robbie sortit du bureau et fit passer le message aux presses du journal. Il imaginait déjà le nombre de fausses photos qu’ils allaient devoir jeter. Il souffla et retourna au boulot.


***



Peter était installé dans la bibliothèque du lycée. Il terminait un de ces devoirs de sciences sur les lézards et leurs capacités de régénération. Il sentit un parfum de pêche et leva les yeux vers Gwen qui se trouvait en face de lui.


- Salut Peter, lança-t-elle de sa voix qui chantait, je peux m’asseoir ?

- Oui vas-y...

- Qu’est-ce que tu fais ?

- Je termine mon exposé sur la régénération cellulaire des lézards pour Mr Ditko

- Pa-ssio-nant, sourit-elle en appuyant bien chaque syllabe.

- Si tu veux que je te rende tes cours j’ai pas encore finis de les recopier...

- Oh non, c’est pas pour ça...

- Qu’est-ce qu’il y a alors ?

- Je me demandais si ça te dirait de m’accompagner au centre commercial après les cours ?

- Nan pas vraiment.

- Pardon ?

- J’ai dit non Gwen, j’ai... tout un tas de trucs à faire. Vas y avec Flash ou Harry...


Gwen se leva aussi droite qu’un piquet. Elle lança un regard noir à Peter et lui dit :


- Pardon Peter, je n’avais pas vu que je te gênais à ce point !


Puis sans lui accorder un regard, elle s’en alla laissant Peter à ses sombres pensées.


***


La scène de Gwen avait remué Peter plus qu’il ne le croyait. Elle était si attentionnée depuis son retour de l’hôpital, il s’en voulait un peu de l’avoir repoussée de cette manière. Il avait perdu l’habitude d’avoir des amis, en particulier des amis du sexe opposé. Comme tous les garçons du lycée, Peter était très attiré par Gwen, mais il ne pouvait s’empêcher de penser à sa vengeance avant tout. Il devait bien ça à Ben et May et mieux encore il se devait bien ça à lui même.


La fin des cours sonna enfin. Peter se dépêcha de rentrer chez Anna, prenant la voix des airs. Arrivé, il prit le journal devant la porte et s’installa dans la cuisine pour goûter. C’est là qu’il vit que sa vendetta faisait l’édito du Bugle, ils cherchaient même des photos de cet homme araignée que des témoins auraient vu. Jameson cherchant à prouver son existence…

L’idée fit le chemin dans son esprit. S'il était engagé au Daily Bugle, il pourrait sans mal chercher des documents sur Le Caïd dans leur banque de données.


-Anna ! appela-t-il de la cuisine

-Oui Peter ?

-Est-ce que tu aurais un appareil photo ?


***



La secrétaire de l’immeuble n’avait pas voulu le laisser entrer par la grande porte alors il avait décidé de passer par la fenêtre. L’escalade de l’immeuble avait été plus longue et laborieuse mais il était finalement arrivé à l’étage de la rédaction. Peter avait déjà vu des films ou des séries se déroulant dans les bureaux d’un journal mais le voir en réalité avait quelque chose de surréaliste. Les sonneries de téléphones retentissaient de toute part. Les personnes dans la pièce, couraient dans tous les sens, semblant chercher à fuir un incendie. Et Peter se demandait bien quel genre d’incendie pouvait bien faire peur aux meilleurs journalistes de New York.


-ROBERTSON !!!!!!!!!!


Peter se retourna et vit arriver l’incendie que redoutaient les journalistes du Daily Bugle. Jonah Jameson venait d’entrer en scène. L’homme était de taille moyenne, sec, le visage osseux, les cheveux gris et coiffés en brosse, qui visiblement portait les même affaires depuis trois jours et sentait le café et le cigare froid. En passant à côté de Peter, l’éditeur du journal lui mit sa tasse de café vide dans les mains.


-On se remue Olsen et on remplis ma tasse et fissa, lança t-il sans accorder un regard à Peter

-Mais je...

-Où est ce satané Joe Robertson !

-Je suis là Jonah, fit une voix calme et profonde dans le dos de Peter


Un grand noir les rejoint, les cheveux court et grisonnant, Peter sentit immédiatement que cet homme inspirait le respect à ses confrères. Il sourit à Peter.


-Je me reposais dans mon bureau.

-Si tous les journalistes prenaient le temps de se reposer ce journal serait en faillite, Robbie ! Où est ma Une ?

-Jonah...nos meilleurs journalistes et nos meilleurs photographes sont sur l’affaire mais...

-Il n’y a pas de mais qui tienne Robbie, si Spider Man existe je le veux dans mon journal !

-Si vous avez mis les meilleurs sur le coup, changez d’employés, dit Peter


Jonah et Robbie se tournèrent vers Peter, surpris par l’intervention du jeune homme.


-Et t’es sensé être qui toi, le gamin.

-Peter Parker, photographe...et accesoirement votre sauveur..., fit Peter en lui tendant la main

-Laisse moi rire... Tu as deux minutes pour foutre le camp...


Jonah bouscula Peter et se dirigea vers son bureau. Peter tendit un dossier à Robbie qui le regardait toujours impressionné par le cran de Parker. Robbie ouvrit la pochette et écarquilla les yeux en voyant les photos de l’homme araignée.


-Euh...Jonah venez voir ça...


L’éditeur poussa un grognement et arracha le dossier des mains de son rédacteur en chef. Il eut le souffle coupé en voyant les images qu’il tenait dans les mains. Il balança son regard entre Robbie et Peter. Il tendit le dossier à Robbie.


-Qu’est-ce qui me prouve que ce sont de vrais photos, gamin ? rugit Jameson

-Vous croyez vraiment que j’aurais pris le temps de me déguiser en Spider Man pour faire de fausses photos ? demanda Peter en soutenant le regard de Jameson

-Sortez ce gamin d’ici ! souffla-t-il le visage pourpre de colère, Robbie occupe toi de lui et demande à miss Brant de prévenir la sécurité ! Balance le par la fenêtre s’il le faut.


Puis Jameson s’en alla aussi vite et bruyamment qu’il était arrivé. Robbie emmena Peter vers la sortie en félicitant quand même l’adolescent pour son cran et son « oeil » de photographe. Tout en discutant de tout et de rien, le rédacteur raccompagna Peter à la sortie.


***


Alors que la nuit venait de tomber sur Manhattan, une silhouette agile et véloce se posa sur la façade du Daily Bugle. Il fracassa une vitre et entra dans un des nombreux bureaux de la rédaction. Il était quasiment invisible dans les ténèbres des couloirs, on ne distinguait que la gigantesque araignée blanche qui recouvrait son torse. Accroché au plafond, il se dirigea vers une porte où il lu : Jonah J. Jameson, editor. Il ouvrit la porte et se posa à l’intérieur du bureau. L’odeur de cigare froid et de transpiration était insupportable, il allait devoir faire vite s’il ne voulait pas mourir asphyxié. Il chercha du regard, puis se pencha sur l’ordinateur et tenta de l’allumer, mais l’écran afficha vite un message de mot de passe. L’araignée se dit qu’il aurait dû y penser et se tourne alors voyant sur sa gauche un tiroir à dossier. Il l’ouvrit et chercha un dossier nommée « Caïd », il trouva alors un dossier épais comme une encyclopédie. Il le feuilleta rapidement, trouvant des copies de rapport de police et quelques articles d’un certain Ben Urich. Intéressant…


-Qui êtes vous ? Qu’est-ce que vous foutez dans mon bureau ?


Spider Man se retourna vers Jameson qui venait d’entrer dans le bureau. Sans un mot et aussi vif que l’éclair, L’homme araignée se jeta sur lui le projeta et l’entoila contre un mur.


-Espèce de fils de…


Une toile vint fermer la bouche de l’éditeur du journal.


-Maintenant vous savez que j’existe monsieur Jameson, souffla le justicier collant presque son visage contre celui de JJJ.


Spider Man récupéra le dossier sur le bureau, ouvrit la fenêtre et sauta dans le vide sous le regard mêlant haine et terreur de Jonah.

***


Au sommet de la Fisk Tower...

Fredrick Foswell entra dans le bureau du propriétaire de l’immeuble, le grand Wilson Fisk. Philanthrope new-yorkais qui donnait d’énorme subvention à la police et autres associations caritatives. Mais chaque médaille à son revers. Fisk était plus connu dans l’underground new yorkais sous le nom du Caïd, le chef d’une grosse partie de la pègre. Un homme dangereux et au-dessus de tout soupçon. Un psychopathe chauve de deux cents kilos en costume Armani blanc. Et Foswell venait lui annoncer une mauvaise nouvelle. Et il espérait que Fisk ne demanderai pas la tête du messager.


-Mr Fisk ?

-Entre Fredrick...


Foswell entra dans dans le bureau. Il chercha Fisk du regard et le vit en train d’arroser et de tailler ses orchidées dans la serre du bureau.


-Ne me dis pas que Castle est déjà sorti de prison ? demanda Fisk sur un ton calme

-Non monsieur, c’est un nouveau, répondit Foswell en tendant un journal à son patron

-Hmm...Spider Man...les super héros adorent les animaux...

-Cela fait une semaine qu’il bousille mes hommes, il vous cherche...

-Et bien il peut venir si ça l’amuse...

-Monsieur, le Tireur est à Londres...vous n’avez aucune défense monsieur Fisk...

-Foswell, les araignées sont des insectes et moi j’écrase les insectes, au pire j’ai tout un bestiaire à lui opposer...J’attend ce Spider Man avec impatience...Vous pouvez y aller...


Fisk sourit en pensant à ce nouveau héros qui voulait s’attaquer à lui si tôt dans sa carrière. Il avait mis hors d’état de nuire le Punisher. Ce spider man il n’en fera qu’une bouchée...


***


Spider Man se tenait sur le toit d’un immeuble en face de la Fisk Tower, tapis dans l’obscurité de la nuit. Les rares preuves trouvées par la police avaient toujours mystérieusement disparus. La ville était corrompue. Fisk approvisionnait la ville en armes de contrebandes, en drogues et en prostitution. Et personne ne faisait rien.

Ce genre de type dégoûtait Peter. Fisk, Le Caïd, favorisait le meurtre de pauvres vieux sans histoire.


L’homme araignée se faufila dans l’immeuble par une fenêtre entrouverte. Il avança à tâtons dans le large couloir mal éclairé.

« Le bureau de Fisk doit être au dernier étage et…mais qu’est-ce- que ! »

Ses réflexes aussi vifs que sa pensée Peter eu juste le temps d’esquiver la chose qui défonça le mur à l’endroit où il se trouvait un dixième de secondes plus tôt. Spider Man effectua un salto arrière pour s’éloigner de la source du danger, puis se redressa. Dans l’ombre une silhouette se dessina, se rapprochant de lui. Peter recula face à la personne se dressant devant lui.

- T’es qui toi exactement, demanda le justicier

- Et toi ? fit l’homme dans l’ombre, c’est quoi ce costume ?

- Tu lis pas les journaux ? Je suis Spider Man.

- Je suis Max Gargan, mais tu peux m’appeler Scorpion !


Alors le Scorpion sortit de l’ombre. Gargan portait une combinaison verte et noire qui lui recouvrait totalement le corps. Son costume était plus épais et plus large au niveau du torse, raccroché à son dos qui se prolongeait comme une queue.


-Tu aimes ? Ma queue est connecté à mon système nerveux ce qui me permet de m’en servir comme d’un marteau pilon, un peu…


La queue se mit à se mouvoir et frappa l’Araignée de plein fouet !


-…comme ça, ricana Gargan


Peter se redressa et secoua la tête, vaguement sonné. Sans un mot Peter sauta au plafond, prit appui dessus et, d'un même mouvement, se propulsa et envoya son poing dans les côtes du Scorpion. Gargan vacilla mais se servit de sa queue pour rétablir son équilibre. Immédiatement le Scorpion tenta de rendre son coup à l'Araignée, qui esquiva sans mal. Mais le Scorpion ne s'arrêta pas là, et son mouvement se prolongea d'un large balancier de sa queue métallique qui, cette fois, atteignit sa cible. . La queue se dressa, prête à frapper à nouveau, mais l’Araignée profita de la voir ainsi pointée à la verticale pour l'entoiler au plafond. Il s’enfuit alors dans le couloir.


Peter avait mal partout, comme si tout son corps n’était plus qu’une gigantesque ecchymose. C’était son premier « super vilain » comme il en voyait dans les comics. Il n’aurait jamais imaginé que ce put être aussi douloureux.


Il poussa une porte et se retrouva dans un immense bureau. Le bureau du Caïd. Peter entra et se retrouva face à une espèce d’écran géant où se trouvaient les images du dossier d’un certain Anton Miguel Rodriguez : Tarentula. C’était donc à cela que ressemblait le coupable du meurtre de son oncle et de sa tante. Il ne lui reste plus cas…


La queue du Scorpion s’enroula soudain autour de la gorge de Peter le soulevant au dessus du sol. De nouveau face à son ennemi, Spider Man était en bien mauvaise posture.


- Alors Spider Man qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? rugit le Scorpion …



A suivre...

 


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